mardi 28 décembre 2010

Le mot « patronyme », d’origine grecque, signifie « nom du père ». Il peut désigner deux sortes de nom différents :

* le nom de famille Page d'aide sur l'homonymie est un nom héréditaire qui se transmet de parent à enfant, en principe inchangé sur plusieurs générations ;
* le nom patronymique est, dans certaines cultures, le prénom du père d’une personne rappelé avec le prénom propre de cette personne (typiquement Xxx, fils de Yyy ou ben Yyy) ; il change donc à chaque génération.

mercredi 10 novembre 2010

A faire ou pas. Les bonnes résolutions, est-ce que ça sert ? On ne sait pas. Mais pourquoi s'en priver...
Waouh !

Des petits liens vers des blogs que j'aime bien, il faut cliquer si je ne m'abuse.

samedi 14 août 2010

Ah mais zut, zut !

Pourquoi j'ai des coups de blues comme ça ?

A quoi ça me mène ?

je me lis, on dirait que ma vie est molle, nulle, sans apprêt, alors que je vois plein de gens, que je fais pleins de trucs... Pourquoi se poser toutes ces questions ???

Couper les cheveux en quatre, ça aide à quoi ?

lundi 9 août 2010

Amitié.

J'ai eu des amitiés, plein, même. Quand je vois comment ça évolue au fil du temps je me pose des questions.

Mes amies de jeunesse étaient-elles de vraies amies ?

Et si elles n'en étaient pas, quel mal mystérieux m'affecte, que je sois incapable de me faire des amies ?

Pourtant, nous avons passé de si bons moments ! Et j'ai gardé des amies de cette époque. Des gens que je vois toujours.

Et ceux que j'ai rencontré ensuite ? Parmi ceux que je revois, que je fréquente encore, que veut dire notre amitié ? Que ferions nous les uns pour les autres ? pas grand chose je le crains. Pourtant nous aimons à nous retrouver - alors ? La vérité est-elle dans ces moments que nous passons ensemble ? Même si ça ne va pas plus loin ?

Quand je parle avec ma "confidente", Isabelle, elle trouve que je coupe les cheveux en quatre et qu'il faut juste aller au bout des choses que l'on fait, au moment où on le fait. Dans cette logique, je suis amie avec pas mal de gens.

mardi 3 août 2010

Angoisse

L'angoisse se manifeste de la façon suivante : j'ai une boule dans la gorge, des difficultés à me concentrer. Il me faut un effort de volonté pour passer le cap. Chaque jour je mène un petit et rapide combat avec moi-même.

mercredi 28 juillet 2010

Lassitude

Là, j'en ai marre. Je suis fatiguée de toutes ces histoires qui se déroulent.

C'est une vraie fatigue, une lassitude. Même physique : je suis tendue, crispée... J'ai, paradoxalement, du mal à dormir...


Je n'imaginais pas, enfant, comme la vie pouvait devenir compliquée. J'entendais parler de gens méchants, mais c'était somme toute assez abstrait.

Là, je fais un léger blocage... ça va passer, sûrement.

samedi 3 juillet 2010

Une de mes amies, très chère il y a longtemps, mais perdue de vue, a une fille qui, pour la deuxième fois, vient de rater son bac.


Il y a 5 ou 6 ans, après nous être déjà considérablement perdue de vue, mais alors que nous nous revoyions une à deux fois par an, j'avais déjà eu l'occasion de parler avec elle, de ce sujet, pas du bac évidemment, la petite fille était trop jeune, mais des études. Mon amie incriminait son mari, qui, selon elle, aurait du aider sa fille, car lui-même avait fait des études, et il ne le faisait pas. J'étais d'accord avec elle, mais je lui avais dit que malgré tout elle devait pousser sa fille. En fait, j'étais mal à l'aise car elle semblait non seulement tout rejeter sur son mari, mais faire preuve d'une sorte de fatalisme joyeux : c'est à lui de faire quelque chose, moi, dans ce domaine, je ne peux rien faire. S'il ne fait rien, il verra ce que c'est qu'avoir un enfant qui rate ses études.

Quand elle en parlait, elle semblait plus en colère contre son mari que désireuse d'aider sa fille ; elle me disait de cette dernière qu'elle était comme elle : elle n'aimait pas les études, et voilà tout.

Bien que je ne sois pas moi même obsédé par les études, il faut bien avouer que trovuer à s'em ployer sans une formation est très difficile. J'avais donc évoqué (de façon théorique) la possibilité de lui faire faire des études pratiques, et pas générales. Mon amie s'en foutait : tout ça, je n'y connais rien, c'est à son père de voir. Moi, je travaille, je tiens la maison, je fais les repas, je lui dis de bosser, je ne peux pas plus.

Du coup, je me suis éloignée d'elle - elle m'aurait juste dit qu'elle n'avait pas le temps, OK, mais c'était ce désir, dans ses paroles, de toujours ramener au père, LE responsable. Ça me gênait. Ou bien elle laissait faire sa fille, ou bien elle s'en chargeait, tout en ralant après le père. Mais là, il y avait un côté : il va voir ce qu'il va voir, je ne ferais RIEN car c'est à LUI de le faire et elle va se planter.

Et la jeune fille a raté son bac deux fois.

Ça me met mal à l'aise d'y penser.

mardi 29 juin 2010

Eté

L'été est là, quoiqu'avec hésitation car malgré la chaleur il pleut parfois.

Les enfants jouent dehors, on entend leurs cris et leurs rires.

Ça devrait durer toujours...

dimanche 27 juin 2010

Bientôt je vais dire au revoir (et non pas adieu) à un lieu qui m'est, plus ou moins, cher. Il s'agit d'un studio, acheté il y a bien longtemps par ma génitrice, dans des circonstances qui m'ont longtemps empêchées de tout à fait l'apprécier. Cela fait seulement deux ans environ ( ou trois) que je peux my rendre sans avoir le coeur serré par une tristesse mystérieuse. Cet endroit réveille les souvenirs de la "famille". Son charme est masqué par des ombres tristes.

Mais je dois le louer pour cause de manque d'argent, et c'est bien : je vais m'en détacher. Si je le loue longtemps, le revoir sera peut-être plus agráble.

mercredi 9 juin 2010

Le silence est le sanctuaire de la prudence.

L’admiration que l’on a pour la nouveauté est ce qui fait estimer les succès. Il n’y a point d’utilité, ni de plaisir, à jouer à jeu découvert.
Cela fait croire qu’il y a du mystère en tout, et le secret excite la vénération. Dans la manière de s’expliquer, on doit éviter de parler trop clairement ; et, dans la conversation, il ne faut pas toujours parler à cœur ouvert.
Le silence est le sanctuaire de la prudence. Une résolution déclarée ne fut jamais estimée. Celui qui se déclare s’expose à la censure, et, s’il ne réussit pas, il est doublement malheureux. Il faut donc imiter le procédé de Dieu, qui tient tous les hommes en suspens.